Editorial de : Jean Etèvenaux
Après les bons moments passés, le jeudi 3 décembre à l’Ugc Cinécité, autour d’Éric-Emmanuel Schmitt et de Jean-Louis Manoa, nous sommes heureux de vous inviter à notre réunion du 11 février, toujours à 18 heures à la salle François Sala. Nous retrouverons ainsi le cours plus habituel de nos réunions, avec deux moments forts qui reviennent chaque année, l’assemblée générale et le vote de nos Grands Prix.
Les documents nécessaires à ce vote vous ont déjà été communiqués, notamment lors de notre dernière rencontre. Si jamais vous n’en disposiez plus, n’hésitez pas à nous les demander, de telle manière que vous puissiez exercer ce droit qui constitue l’une des particularités des grands Prix de la Sélyre, dont les lauréats sont désignés par ses membres. Nous vous rappelons simplement la procédure à suivre : pour chaque catégorie, il convient de mettre deux croix dans la case du livre préféré et une seule dans celle du second choix ; ensuite, il faut renvoyer le bulletin sous double enveloppe, c’est-à-dire le placer avec ses croix dans une enveloppe anonyme puis glisser celle-ci dans une deuxième enveloppe à l’adresse de la Sélyre avec son nom pour éviter tout double vote.
Quant à l’assemblée générale, elle vous permettra, grâce aux rapports du président et de la vice-présidente chargée de l’administration, de prendre connaissance de l’intégralité des actions menées au cours de l’année. Elle constitue aussi l’occasion, au moment des questions diverses, de formuler propositions et critiques.
Enfin, il y a les auteurs autour desquels nous allons plus particulièrement nous retrouver. L’Histoire sera très présente, soit locale avec Le Progrès et la période où Lyon fut une cité protestante, soit plus générale avec l’évolution de l’armée française entre le Front populaire et Vichy. On évoquera aussi les problèmes d’aujourd’hui, avec un débat entre un maire de gauche et un maire de droite, l’un dans le Rhône l’autre dans la Loire, et qui viennent chacun de publier un livre. Mais on s’interrogera aussi sur une réalité qui nous rapprochera de ce qu’on appelait autrefois les fins dernières, avec un ouvrage sur le diable. Enfin, fidèle à l’ouverture internationale de la région, deux auteurs nous parleront du Burkina Faso.
Alors, qu’il ne soit question ni de neige ni de glace ni de froid : il faut venir rue Saint-François le 11 février. Non seulement nous vous offrirons le traditionnel apéritif dînatoire, mais nous nous engageons à ramener chez elles les personnes qui pourraient se trouver confrontées à des difficultés. La Sélyre est vraiment aux petits soins pour vous !